- Fazer06Admin
WSBK : Jules Cluzel s'évalue à la veille de la saison
Mar 12 Fév 2013 - 19:20
2-02-2013 :
Fraîchement arrivé du Moto2, il a investi sans
préliminaires le monde du Supersport pour revêtir à l'issue de cette
première campagne les habits d'un vice-champion du monde. En 2013, le
voilà propulsé dans la catégorie supérieure, le WSBK, grâce au team
Suzuki Crescent qui a succombé à ses charmes. Après avoir été néanmoins
préalablement éconduit par Sylvain Guintoli.
Au vu de ce parcours météorique, que peut-on espérer de Jules Cluzel
cette saison ? Dans un entretien accordé de l'autre côté de la Manche,
le Tricolore se veut posé et réaliste. Avant tout, il s'agira
d'apprendre. Jules serait-il devenu sage ? On a du mal à le croire. Et
pourtant, il veut nous en convaincre. "Je ne me fais pas de film pour la
première course, je veux prendre mon temps" assure-t-il. "L'équipe ne
me met pas la pression, ils me disent d'y aller progressivement, de
cerner la moto. Mais lors des tests en Espagne, j'étais assez proche de
bons pilotes comme Leon Haslam ou Chaz Davies."
"Le souci que je pourrais rencontrer, c'est de me focaliser sur mes
temps au tour. Il faut que je me détache de ça. Je dois simplement me
sentir bien avec la moto. Maintenant, après avoir dit ça, je dois bien
avouer que je vérifie mes chronos comme tout le monde ! Pour le moment,
c'est la moto qui me domine. Alors pour la première course, je ferai du
mieux que je peux. L'an dernier, pour mes débuts en Supersport, j'ai
fini quatrième et en colère. C'est aussi un de mes problèmes. J'ai bien
terminé, mais j'étais déçu de n'avoir pas pu faire mieux. Et lorsque je
suis en colère, je ne roule pas bien. En WSBK le niveau est tel que la
moindre erreur se paie cher."
Par Emile Zoosk, photo suzuki-racing.com
Fraîchement arrivé du Moto2, il a investi sans
préliminaires le monde du Supersport pour revêtir à l'issue de cette
première campagne les habits d'un vice-champion du monde. En 2013, le
voilà propulsé dans la catégorie supérieure, le WSBK, grâce au team
Suzuki Crescent qui a succombé à ses charmes. Après avoir été néanmoins
préalablement éconduit par Sylvain Guintoli.
Au vu de ce parcours météorique, que peut-on espérer de Jules Cluzel
cette saison ? Dans un entretien accordé de l'autre côté de la Manche,
le Tricolore se veut posé et réaliste. Avant tout, il s'agira
d'apprendre. Jules serait-il devenu sage ? On a du mal à le croire. Et
pourtant, il veut nous en convaincre. "Je ne me fais pas de film pour la
première course, je veux prendre mon temps" assure-t-il. "L'équipe ne
me met pas la pression, ils me disent d'y aller progressivement, de
cerner la moto. Mais lors des tests en Espagne, j'étais assez proche de
bons pilotes comme Leon Haslam ou Chaz Davies."
"Le souci que je pourrais rencontrer, c'est de me focaliser sur mes
temps au tour. Il faut que je me détache de ça. Je dois simplement me
sentir bien avec la moto. Maintenant, après avoir dit ça, je dois bien
avouer que je vérifie mes chronos comme tout le monde ! Pour le moment,
c'est la moto qui me domine. Alors pour la première course, je ferai du
mieux que je peux. L'an dernier, pour mes débuts en Supersport, j'ai
fini quatrième et en colère. C'est aussi un de mes problèmes. J'ai bien
terminé, mais j'étais déçu de n'avoir pas pu faire mieux. Et lorsque je
suis en colère, je ne roule pas bien. En WSBK le niveau est tel que la
moindre erreur se paie cher."
Par Emile Zoosk, photo suzuki-racing.com
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